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Rapa Nui

L'île où c'est Pâques  toute l'année

Iorana,

      comme on dit à Rapa Nui !

Rapa Nui, c'est l'autre nom (local) de l'Île de Pâques, ce petit caillou perdu au beau (très beau) milieu de l'océan pacifique.

Ce caillou triangulaire fait à peine plus que la superficie de Paris intramuros.

L'endroit est surtout connu pour ses étranges statues, les moaï, représentant les ancêtres de la civilisation Rapanui qui y a fleuri du XIIe au XVIe siècle environ.

Disséminés sur toute l'île, plus de 600 moaï sont à trouver.

 

C'est un peu comme les œufs de Pâques.

Plage Anakena et Ahu Nau Nau.

Parmi les 600 moaï, plus de la moitié sont encore dans la carrière où on les a taillés, sur les flancs du volcan Rano Raraku.

Couchés, penchés, pas encore terminés...

Immenses, décapités ou juste une tête à même le sol...

 

 

Il y en a pour tous les goûts !

Ahu Akivi

Si la société Rapa Nui a fleuri pendant une longue période de compétition cordiale entre les chefs des différentes tribus, à celui qui arriverait à lever et aligner les plus gros moaï (l'un des derniers érigés, Paro de son petit nom, mesure 11 mètres pour 85 tonnes, tout de même...), il faut savoir que toute fleur finit par faner...

Les ressources, disséminées sur toute l'île et donc demandant une grande coordination entre les clans, vinrent à manquer,

et les rivalités montèrent,

et les guerres éclatèrent,

et l'on renversa les chefs et les responsables religieux, démolit leurs maisons, renversa leurs statues...

Giselita la tortue géante, sort tous les soirs au même endroit pour faire la sieste au soleil, dans le port de Hanga Roa.

Les moaïs de l'ahu A Kivi restent debout, même sous la pluie...

Les pétroglyphes du site cérémoniel Orongo, entre l'océan et le vaste cratère du volcan Rano Kau, sont les marques d'un nouveau culte apparu sur l'île vers la fin de la période préhistorique :

Vue des îlots depuis Orongo,

et autres pétroglyphes.

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